À lire dans Libération aujourd’hui, le papier d’Emmanuel Schwartzenberg, pages Rebonds.
(Dernier ouvrage paru :Spéciale dernière. Qui veut la mort de la presse quotidienne française ? Calmann-Lévy, 2007.)
Fallait-il vraiment attendre la crise au Monde pour enfin se relever les manches, et s’occuper de la presse, vraiment?
Cela ne passionne pas les foules : 4 réactions à 17h00. « Long » écrit :
[…]heureusement il reste de la solidarité au Livre , ce qui permet de peser face au patronat . A l’heure du TPMG ( tout pour ma gueule) ça fait un bien fou . Le but d’un journal est d’informer , au juste prix, en étant rentable et non pas de dégager des ratios de bénéfice a deux chiffres .[…]
Dommage que l’article ne soit accessible depuis la rubrique Ecrans/Médias, aussi.
Et le web, avais-je demandé à Emmanuel Schwartzenberg… et bien on en parle chez Philippe Couve, avec un compte-rendu du débat organisé par le SNJ : « le web, sauveur ou fossoyeur du journalisme? »