Pas une page de pub pour Serge Nedjar
« [Il] incarne à la perfection ce que dénoncent les journalistes de la chaîne, en grève depuis le 17 octobre : la mainmise de Vincent Bolloré et une déontologie discutable. » nous disent Alexis Delcambre et Pierre Jaxel-Truer
Le « Bolloré boy » y est taxé d’avoir la « réputation d’un manageur musclé toujours au service des intérêts de son actionnaire ».
On y parle aussi collusion contenu/publicité :
À Direct Matin, il dirigeait le titre en même temps que la régie publicitaire. Un mélange des genres qui rendait à dessein les frontières poreuses entre annonceurs et contenus. Il fait la même chose à i-Télé, où il cumule depuis le départ de Zeller tous les postes de direction. Il continue aussi de diriger Direct Matin, dont les équipes rejoignent celles d’i-Télé pour constituer une » News Factory « .
« Il n’y aura rien à discuter car vous ferez ce qu’on vous dit de faire »
Le Monde rapporte une de ses sorties : » Il n’y aura rien à discuter car vous ferez ce qu’on vous dit de faire « , a-t-il déclaré à la rédaction.
Pour rendre à Cesar ce qui est à Cesar, cette phrase est issue d’un compte-rendu de la SDJ d’iTélé qui avait été publié alors par Puremedias. Extrait :
La totalité du document est à lire ici.
Prometteur. Il n’est pas impossible que cette page serve de cible à fléchettes pour les salariés d’iTélé.