Depuis plus de 20 ans, lenodal rassemble une équipe de passionnés de graphisme et d’identité visuelle, qui collectionne et documente les habillages télé. Nous proposons une médiathèque avec plus de 22.000 vidéos et sons, des forums de discussion et des articles sous forme d’analyses et d’interviews de professionnels.
Cela fait quelques temps que nous cherchons à mettre au premier plan le son, qui n’est souvent perçu que comme un accompagnateur de l’image. Avec les vidéos, nous restons focalisés sur l’image avant tout ; l’émotion de la musique ou de la voix se confondent souvent avec le visuel
Avec le podcast, nous avons trouvé un nouveau support à la fois pour prendre le temps d’écouter l’habillage sonore, mais aussi pour transmettre autrement notre passion pour le design visuel.
Le podcast est un média qui se prête très bien à la narration ; c’est une manière pour nous de prendre plus de temps de réflexion, plus de recul. Il incite à l’échange au sein de l’équipe d’une part et avec les auditeurs d’autre part ; il nous permet aussi de raconter des anecdotes ou d’apporter des nuances plus difficilement perceptibles à l’écrit. Nous prévoyons d’ailleurs de laisser aussi la parole aux créatifs dans certains numéros pour apporter leur témoignage.
Comme nous parlons beaucoup d’image, nous avons voulu proposer un format « hybride » grâce à une version vidéo du podcast, pour illustrer nos propos et apporter quelques supports visuels. C’est aussi l’occasion de redécouvrir quelques génériques anciens et de prolonger l’exploration de notre médiathèque.
Au sommaire :
• Les nouveautés des JT de France 2, franceinfo, BFMTV et BFM Lyon. Sans oublier l’actualité en bref.
• L’exposition consacrée à Étienne Robial au MABA.
• Une plongée dans nos archives sonores et visuelles.— lenodal (@lenodal) October 7, 2019
Lenodal Le Podcast est disponible sur YouTube, Soundcloud et bientôt sur la majorité applications de podcast.
L’ADN n’ayant pas encore été confirmé une très forte majorité des médias se rue sur l’affaire Dupont de Ligonnès considérant l’hypothèse des empreintes digitales comme preuve absolue. La distanciation critique se voit submergée par la recherche de biz à tout prix.
L’ADN n’ayant pas encore été confirmé dans l’affaire Dupont de Ligonnès, une très forte majorité des médias se ruent sur le bus, considérant l’hypothèse des empreintes digitales comme une preuve absolue. L’absence de distanciation critique met jour une fois de plus les effets pervers de la culture de l’instant.